Présentation de la Brune de "SON" Ténébreux

* De son physique*

Jeune femme dont l'abondante chevelure, noire de jais, joue de contraste avec son teint pâle. Au travers de ses yeux de pers, se devine autant de force que de fragilité. Le contraste se veut troublant entre son sourire plein de grâce et son regard où percent des éclairs de cruauté.
Elle reste néanmoins de ce genre de femme qu'on a envie de protéger du monde.


* Signes particuliers *

-Pourvu d'un accent chantant de sa Provence natale ;
-Visible à l'oeil, lorsqu'elle tient sa chevelure relevée en un chignon soigneusement tiré, comme c'est bien souvent le cas, se devine, marquée à l'encre sous sa chair, une salamandre épousant sa nuque ;
- Une tâche de naissance de couleur brunâtre située dans le creux de son cou ;


Quelques cicatrices :
- Une lui fendant légèrement la lèvre supérieure, visible à l'oeil dans l'unique cas de contact physique rapproché ;
- Une autre, infime, située sous son menton, marque indélébile laissée par une dague qu'elle eut un jour pointé sous la gorge ;
- Une légère estafilade sous la rondeur de son sein droit ;
- Une entaille sur l'avant bras droit causé par son oiseau de proie, une autre courant du creux de sa main jusqu'entre son index et son pouce.


* De son caractère*

Elle se veut :
- avoir une réplique aussi acérée que sa lame en plus d'avoir un caractère de cochon ;
- d'une grande discrétion ;
- responsable et consciencieuse ;
- sage et sérieuse à ses heures ;
- Eduquée.. ben oui qu'est ce que vous croyez ! ;
- joueuse avec ceux qu'elle connaît ;
- droite et franche.


* Ce qu'elle possède toujours sur elle *

- une chaînette qu'elle porte autour de son cou, arborant un médaillon de baptême ; celui de sa défunte mère ;
- Un bijou remis par son père, ornée de rubis et d'émeraude. Il lui suffit alors d'en ouvrir les ailes et d'humer le doux parfum de pins et de lavande qui s'en dégage pour se rappeler d'où elle vient ;
- une vieille bourse de cuir plus souvent vide que pleine ;
- dans un étui de cuir frappé de ses initiales, rattaché à sa cuisse droite, sa dague qui ne la quitte jamais